05 09 19/ REVUE DE LA PRESSE CONGOLAISE DE CE JEUDI (CongoForum)

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Sommaire

Enfin ! On a parlé fric, et sérieusement. C’était une première rendue possible grâce à la rencontre en mars 2019 à Washington entre le président Félix Tshisekedi et la présidente du FMI Christine Lagarde. Après sa mission en RDC, une équipe du FMI a rendu le 5 juin son rapport dans lequel elle préconise des ajustements des politiques économiques et financières. Il en est question dans les médias congolais au matin de ce jeudi 5 septembre 2019. Les journaux reviennent aussi sur les échanges et préoccupations des députés nationaux après la présentation du programme du gouvernement par le Premier ministre Sylvestre Ilunga. On reparle du scandale sexuel du Kongo Central et certains médias évoquent aussi le séjour du secrétaire général adjoint chargé des opérations de maintien de paix de l’ONU, Jean-Pierre Lacroix, au Sud-Kivu.

RDC/FMI

Le Bulletin de l’ACP titre « Le FMI : des mesures pour la maximisation des recettes dues au trésor public de la RDC »

« Le conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) a, à l’issue d’une réunion tenue mardi à son siège, suggéré au gouvernement Congolais un train de mesures pour la maximisation des recettes dues au trésor public, indique un communiqué de cette institution parvenu mercredi 4 septembre 2019 à l’ACP.

Parmi ces mesures figurent, la réduction des exonérations et l’élargissement de l’assiette fiscale, la simplification du système fiscal et l’amélioration de l’administration fiscale ainsi que le contrôle des frontières, l’intégration plus poussée des revenus miniers dans la trésorerie.

L’amélioration de la gestion des finances publiques et l’efficacité des dépenses publiques pour des prévisions réalistes des recettes et des dépenses, le rétablissement de la chaîne de dépenses et la limitation du recours aux procédures de dépenses d’urgence pour favoriser la transparence et la responsabilisation, la rationalisation de la fonction publique et l’amélioration de la rémunération, sont aussi envisagés par le FMI pour l’augmentation de l’efficacité.

En rapport avec la viabilité de la dette, les administrateurs du FMI ont préconisé le contrôler des projets d’investissement public, d’éviter les emprunts coûteux et les prêts garantis et l’élaboration d’une stratégie pour éponger les arriérés intérieurs.

Toutefois, les administrateurs sont d’avis que le fait d’affiner le cadre de politique monétaire renforcerait l’efficacité de la Banque centrale du Congo dans l’augmentation de ses réserves de change pour stabiliser le marché.

Selon les gestionnaires du FMI, une recapitalisation de la Banque centrale contribuerait à renforcer son indépendance et à renforcer sa capacité à mener une politique monétaire et à promouvoir la stabilité financière. Ils ont soutenu qu’une amélioration de réglementation est importante pour aider la Banque centrale du Congo à préserver et à développer le système financier, avant de suggérer l’alignement du projet de loi bancaire sur les normes internationales.

Les administrateurs du FMI ont convenu que la lutte contre la corruption et l’amélioration de la gouvernance sont essentiels pour renforcer l’efficacité des dépenses publiques et les perspectives de croissance.

Dans le secteur minier, ils ont appelé le gouvernement à la transparence et la responsabilisation dans la gestion des ressources naturelles par la mise en adjudication publique des actifs miniers, à la publication de tous les contrats miniers, à la divulgation de la propriété réelle des contractants et à la publication des états financiers vérifiés des entreprises d’Etat.

Les administrateurs ont également exhorté les autorités à accélérer l’adoption de la loi anti-corruption et de la loi portant création d’une commission anti-corruption indépendante. Ils ont aussi souligné, le besoin urgent d’améliorer le climat des affaires pour attirer les investissements privés et promouvoir une croissance inclusive. Les priorités comprennent la réduction des formalités administratives et la réforme du système fiscal et la réforme du système judiciaire.

Pour rappel, le train de mesures du FMI, fait suite à la dernière mission d’évaluation que certains responsables de ce fonds avaient effectué à Kinshasa au mois d’août dernier ».

RFI annonce à ce sujet les recommandations du FMI pour un redressement financier de la RDC. Selon RFI, le Fonds monétaire international demande à la RDC de profiter de cette transition politique pour mettre en place des réformes de fond pour assainir les finances publiques, lutter contre la pauvreté généralisée et la corruption et de promouvoir une croissance inclusive. C’est une des conclusions de la première revue annuelle sur la RDC depuis 2015.

Ce média rappelle que le nouveau chef de l’État Félix Tshisekedi avait renoué avec le FMI et lui avait permis de reprendre ses missions dans le pays. Dans son discours d’investiture, le Premier ministre a bien indiqué qu’il comptait sur les partenaires extérieurs dont le FMI.

Et RFI d’ajouter que, dans sa revue annuelle, le FMI note déjà « que la RDC aurait besoin de l’appui des bailleurs de fonds internationaux » pour renforcer ses capacités. Mais l’organisation internationale encourage avant tout le pays à engager des réformes de fond.

DeskEco.com rapporte que le FMI recommande à la Banque centrale d’augmenter les réserves de change afin de stabiliser le marché. Les administrateurs du FMI estiment que l’augmentation des réserves de change permettrait à la Banque centrale du Congo (BCC) de stabiliser le marché, indique le média virtuel.

Selon DeskEco.com « les administrateurs ont convenu que le fait d’affiner le cadre de politique monétaire renforcerait son efficacité. Ils ont exhorté la banque centrale à augmenter ses réserves de change pour pouvoir intervenir afin de stabiliser le marché, comme il se doit ».

La Prospérité signale pour sa part que Huawei promet son soutien au gouvernement congolais. Le Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi Tshilombo, a allumé, le mardi 3 septembre à Kinshasa, les lampions de l’Atelier de validation du plan numérique-Horizon 2025.

A en croire ce quotidien, cette activité dont la clôture est prévue ce jeudi 5 septembre réunis des experts du secteur numérique, des chefs des services publics, des mandataires des sociétés des télécommunications ainsi que plusieurs autres participants qui cogitent sur les voies et moyens pouvant permettre au pays de se doter d’un plan numérique adéquat.

Politique

Forum des As titre à la Une : « RECONCILIATION NATIONALE Les signaux d’Ilunga »

« En s’engageant à rapatrier les corps de Mobutu ainsi que Tshombe, et en rendant hommage à tous ses prédécesseurs, le nouveau Premier ministre s’inscrit dans la logique de la concorde nationale prônée par le Président de la République.

L’alternance avec la collaboration entre les  » ennemis  » d’hier, à savoir l’UDPS et le camp Kabila, dans une logique de coalition procède du souci de rapprochement entre les fils de ce pays, donc de réconciliation nationale. On ne peut que s’en féliciter.

Dans son discours devant la représentation nationale, mardi 3 septembre, le Premier ministre donne des signaux forts sur le front de la réconciliation nationale, en annonçant notamment le rapatriement des corps de feu le Président Mobutu et feu le Premier ministre Tshombe qui constituent une part de l’histoire de la RDC. Qu’on l’aime ou non, Mobutu en dirigeant 32 années durant le Zaïre, fait partie de l’histoire du pays. Moïse Tshombe, l’homme de l’Etat indépendant du Congo, et en 1964,l’homme de la réunification du pays assortie d’élections, représente également un pan important de l’histoire du Congo.

Sans doute le rapatriement de leurs corps sera un moment de concorde nationale. A l’instar de celui d’Etienne Tshisekedi deux ans après sa mort. Le Premier ministre ne s’est pas arrêté là. Il a aussi rendu hommage à tous ses prédécesseurs sans exception en les citant nommément. Avec cette mention particulière à Bruno Tshibala.  » Parlant de mes prédécesseurs, je voudrais rendre un hommage particulier à l’action du Premier ministre Bruno TSHIBALA NZENZHE pour avoir contribué de manière significative à la bonne tenue du processus électoral ayant permis aux institutions de la République de se doter de nouveaux animateurs « , fait remarquer le Premier ministre Sylvestre Ilunga Ilunkamba.

Cet exercice n’est pas que protocolaire. Et bien plus que protocolaire, il est mémoriel. Il a pour vertu de reconstituer et de restituer l’histoire du pays en vue d’envisager le futur avec beaucoup de sérénité. Quoique l’on dise, ces différents Premiers ministres ont marqué l’histoire à leur manière.

La question n’est pas de dire si tous ces Premiers ministres ont correctement géré le pays. La question ici c’est d’essayer de réconcilier le pays avec ses fils. Les Congolais doivent se réconcilier avec leur pays quels que soient les avatars de cette histoire.

Donc le grand oral du Premier ministre n’aura pas été qu’un moment de présentation du programme de son gouvernement. Il a permis aussi à Sylvestre Ilunga Ilunkamba de poser le jalon de la réconciliation entre Congolais. Ce qui rejoint le credo de FATSHI qui, dès son accession à la magistrature suprême n’a de cesse de prôner le renforcement de l’unité nationale.

Félix Antoine TshisekediTshilombo, investi le jeudi 24 janvier au cours d’une cérémonie historique de passation de pouvoir avait déclaré que la  » force d’un peuple repose sur l’unité et la réconciliation nationale « . Il compte œuvrer au cours de son mandat, pour que règne la paix et l’unité.Ce n’est pas tout. Felix Tshisekediavait promis de travailler pour que la Nation qu’il va diriger ne soit pas un pays de la division, de la haine ou du tribalisme, mais un pays réconcilié.

Le nouveau locataire du Palais de la Nation s’était engagé à construire un Congo fort, où chacun mérite sa place et de mener un combat pour le mieux-être pour chaque citoyenne et citoyen de ce pays.

 » Nous ferons de la réconciliation nationale l’une de nos priorités. Nous sommes convaincus de l’urgence de mettre en place rapidement une véritable procédure d’écoute et de dialogue dans l’ensemble du pays en prélude à un Forum de réconciliation qui réunira toutes nos forces vives « , avait affirmé le Président de la République.

Au demeurant, même la coalition quelque part procède de ce souci de réconcilier les Congolais. De ce point de vue, sans présager son mandat à la tête du Gouvernement, Sylvestre Ilunga Ilunkamba, par son discours, montre qu’il est soluble dans la réconciliation des Congolais avec leur histoire et des Congolais entre eux. »

La Prospérité titre en grosse manchette que la réplique de Ilunga attendue ce vendredi. Pour le quotidien, le peuple congolais a beau avoir soif de voir les nouvelles figures du gouvernement amorcer réellement leur travail mais, il y a des étapes à ne pas brûler évidemment.

Il faut donc y aller de manière méthodique et suivant toutes les procédures à la lettre. Le Premier ministre Sylvestre Ilunga reviendra demain vendredi 6 septembre à l’Assemblée nationale, après qu’il ait dévoilé le mardi dernier le programme du gouvernement.

48 heures lui avaient en effet été accordées afin d’apprêter les réponses satisfaisantes face aux innombrables et diverses préoccupations soulevées par les élus du peuple quant à ce. Une fois le programme approuvé, il sera donc officiellement investi avec l’ensemble de son équipe gouvernementale, et que le travail commence.

Au cours de la plénière consacrée à l’analyse du programme du gouvernement, le député national Henri-Thomas Lokondo a demandé au Premier ministre Sylvestre Ilunga Ilunkamba de contrôler efficacement et rigoureusement les ministres de son gouvernement ainsi que les responsables des entreprises publiques, rapporte Actualite.cd.

Il appelle pour ce faire, le Premier ministre à faire preuve du courage politique pour les sanctionner le cas échéant, poursuit le site web.

De son côté, Actu30.info rapporte qu’au cours d’une conférence de presse animée mercredi 4 septembre à Kinshasa, le député national Christophe Lutundula de l’opposition a affirmé que le débat sur le programme du gouvernement Ilunga Ilunkamba a été organisé en violation du règlement intérieur de l’Assemblée nationale.

Selon cet élu du peuple, l’article 167 de ce règlement qui prévoit un temps minimal de parole aux groupes parlementaires a été violé, ajoute le site web.

Forum des As titre « Les « dissidents » interdits de parler au nom de l’AFDC-A »

« C’est ce qui ressort du communiqué du regroupement cher à Bahati.

Le dédoublement constaté au sein de l’Alliance des forces démocratiques du Congo et Alliés (AFDC-A) est loin d’apaiser les esprits au sein de cette plateforme qui a longtemps milité sous la bannière du Front commun pour le Congo (FCC) et de Joseph Kabila. Lésé par la tempête de prises de position contradictoire au sein de ce regroupent politique, la 1ère vice-présidente de l’AFDC-A tape du poing sur la table.

Dans un communiqué diffusé le lundi 2 septembre dernier et portant la signature de Mme Marie-Jacqueline Rumbu Kazang Katung, des mesures fermes sont prises pour dissuader les dissidents de continuer à entretenir la confusion.

Se référant à la décision du 1er septembre de la Conférence des Présidents des Partis et Personnalités politiques de leur plateforme, Mme Marie-Jacqueline Rumbu Kazang exclut de l’AFDC-A des partis tels que l’ADPS, la CONACAT, le CAAC, le PT et l’UDCN, ainsi que quelques cadres de cette formation politique.

RESTITUTION DES INSIGNES DE L’AFDC-A

La Première Vice-présidente de la plateforme chère à Bahati fait nommément référence au groupe de Nene Ilunga Nkulu, Steve Mbikayi, Tharcisse Loseke Nembalemba, Didier Okito Lutundula, Patrick Djamba Katakala, Rubin Rashidi Bukanga…à qui elle interdit de parler au nom de l’AFDC-A et d’engager cette plateforme en public. Il leur est même demandé de restituer tous les insignes, drapeaux et matériels en leur possession, sous peine de poursuites judiciaires.

La tension au sein de l’AFDC-A remonte à la veille des élections au perchoir du Sénat. Alors que le FCC venait de désigner Alexis Thambwe Mwamba comme candidat de la coalition au pouvoir, Modeste Bahati a brandi également sa candidature. Cette position n’a pas été du goût de tous au sein de l’AFDC-A. D’où les dissensions en cours ».

Scandale sexuel du Bas-Congo

La Tempête des Tropiques annonce « En dépit du scandale sexuel secouant la province du Kongo Central : Atou Matubuana et Justin Luemba visitent ensemble différents chantiers de Matadi »

« Alors que les principales artères de Matadi grouillaient du monde venu répondre à l’appel à la marche pacifique, initiée par les députés nationaux originaires de la province du Kongo Central le samedi 31 août dernier, pour exiger des sanctions exemplaires contre toutes autorités provinciales et autres personnalités impliquées dans le scandale sexuel qui continue à faire tâche d’huile à travers la planète ; laquelle marche, bien qu’interdite par le pouvoir provincial, a tout de même connu un franc succès, le Gouverneur Atou Matubuana, de son côté, a également profité l’après-midi de ce même jour, pour visiter à pieds quelques chantiers de Matadi.

C’était en vue de relancer leurs travaux longtemps interrompus. La visite a eu lieu sous les ovations de la foule en liesse. Il s’agissait respectivement des chantiers du tronçon routier allant de la place » Air Brousse » à l’Hôtel Métropole, situé en plein centre-ville, dans la commune de Matadi ; du Pont Petepete, communément appelé Pont Kiamvu, reliant les trois communes de Matadi et enfin du Stade Patrice Emery Lumumba, situé dans la commune de Mvuzi, dont les travaux sont à l’arrêt depuis une année.

Accompagné pour la circonstance du Vice-gouverneur Justin Luemba Makoso, apparemment très à l’aise, ainsi que de quelques ministres provinciaux, parmi lesquels celui des Infrastructures, travaux publics et reconstruction, le chef de l’Exécutif provincial, qui a voulu personnellement s’enquérir des réalités actuelles de ces chantiers, figurant parmi les actions prioritaires à impact visible contenues dans le programme quinquennal du gouvernement provincial, avait d’emblée décidé de les relancer au courant de cette semaine.

C’est ce qui est entrain de se réaliser depuis ce lundi 2 septembre. S’agissant plus particulièrement du Stade Lumumba de Matadi, un chantier dont les travaux débutés il y a près de 8 ans et relancés ensuite par feu le Gouverneur Jacques Mbadu qui en avait fait son chantier de prédilection, se trouvent à l’arrêt depuis le décès de ce dernier, au mois de juillet 2018, sans pour autant qu’on y songe encore.

Cependant, suite aux incessantes réclamations de la population de Matadi qui, lors du dernier séjour dans cette ville du Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, ont réitéré les mêmes réclamations, le Gouvernement provincial du Kongo Central, sous la férule d’Atou Matubuana Nkuluki, vient de décider, malgré lui, de relancer lesdits travaux, quand bien même ce projet requiert de l’apanage du Gouvernement central.

Pour parer au plus pressé, le N° 1 du Kongo Central a mandaté d’urgence à Kinshasa Guylain Panzu Mangovo, ministre provincial en charge des ITPR, pour aller discuter avec l’entreprise Mango qui exécute ces travaux, afin que dès la fin de la semaine en cours, elle puisse se mettre à l’œuvre, sur fonds propre du Gouvernorat. Selon les estimations du ministre provincial précité, le Stade Lumumba de Matadi pourra redevenir opérationnel d’ici fin mars 2020. »

CongoSynhèse.com qui écrit sur Kongo-Central titre que le ministre provincial de l’Intérieur assure l’intérim du gouverneur convoqué à Kinshasa. Le vice-premier ministre intérimaire chargé de l’Intérieur, Basile Olongo a désigné le ministre provincial de l’intérieur du Kongo-Central, Marcel Matumpa, pour assurer l’intérim d’Atou Matubuana, le gouverneur de cette province.

Ce dernier et le vice-gouverneur, Justin Luemba, impliqués dans un scandale sexuel qui a récemment éclaté au Kongo Central séjournent à Kinshasa sur convocation de Basile Olongo.

La mesure de cette convocation a été prise prise pour permettre au parquet général près la Cour de cassation de bien mener ses enquêtes, sans aucune influence, sur les faits de scandale sexuel dont les deux autorités du Kongo Central font l’objet, a déclaré mercredi 4 septembre M. Olongo.

Stabiliser le Sud-Kivu

Certains médias reviennent sur le séjour du secrétaire général adjoint chargé des opérations de maintien de paix de l’ONU, Jean-Pierre Lacroix, au Sud-Kivu.

A Minembwe, Jean-Pierre Lacroix a réaffirmé l’implication de la MONUSCO dans la stabilisation de la situation sécuritaire dans les Haut plateaux, rapporte 7sur7.cd.

Dans un entretien avec les notables des territoires de Fizi et Itombwe, il a déclaré que les Nations-Unies fournissent des efforts pour venir à la rescousse des victimes des récents conflits dans la région, ajoute le portail.

« Cette visite qui vise à manifester que la MONUSCO reste très engagée pour aider la province du Sud-Kivu à surmonter les défis sécuritaires mais aussi l’aider à saisir les opportunités qui s’offrent aujourd’hui », note pour sa part Cas-info.ca qui reprend les propos de M. Lacroix après ses échanges avec le gouverneur de cette province.

Jean-Pierre la Croix arrive dans la province du Sud-Kivu après la visite de Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU, dans la province voisine du Nord-Kivu, rappelle ce site web.

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 © CongoForum, le jeudi 5 septembre 2019

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